Le monde a la simplicité de l’arbre, des prairies, des premières fleurs aux branches ; les brumes se lèvent, libérant les taillis et les villages. Les labours travaillent la terre à grande force neuronale ; et par les colzas, les genêts, le jaune est exhaussé vers le pauvre soleil. Non, rien de noir, rien qui valide l’obscurité. La plus humble rigole reflète en miroir une lumière incontestable.
Finis Terrae de Jean Epstein |
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